La flèche médiévale, La flecha medievales

LA FLECHE MEDIEVALE
La flèche médiévale comme aujourd’hui est le prolongement de l’arc, elle est fonction de l’arc qui la propulsera et de l’utilisation que l’archer veut lui donner. Les trois grandes familles de flèches sont la guerre, la chasse, et l’entraînement ou le loisir.
Pour la guerre, la flèche doit être de fabrication rapide, à « usage unique », lourde pour augmenter son inertie et sa puissance, elle est conçue en général pour tirer de très grandes volées pendant un temps bref en ajustant non un ennemi précis, mais une distance précise : la stratégie qui nous coûta toute notre chevalerie française pendant la guerre de cent ans était d’aligner plus de 8 000 archers qui tiraient sur nos troupes 12 à 15 flèches par minute lorsque nos piétons ou cavaliers arrivaient à environ 200m de leurs lignes, ce qui fait entre 90 000 et 120 000 flèches à la minute ! Il est aisé d’imaginer la quantité nécessaire à une armée en campagne… un chroniqueur de la bataille d’Azincourt décrivait le « rideau de flèches qui se fermait sur le ciel »… si on compte environ 100 g par flèche ce qui était un minimum pour les flèches de guerre, cela donnait donc environ 10 tonnes qui vous écrasait par minute ! ! ! aucun assaut ne peut supporter une pluie pareille. Chaque archer est approvisionné par « gerbe », c’est à dire 24 flèches qu’il plante ou couche au sol devant lui. En 1480 à Londres, 12 gerbes, donc 288 flèches coûtent 38 shillings et 8 pences.
La chasse demande une flèche précise, sa fabrication sera beaucoup plus soignée par souci d’efficacité. Comme aujourd’hui elle variera en fonction du gibier et du style de chasse, le livre du Roy Modus conseille pour « traire à aguet » ("traire" signifie chasser à l’arc, à "aguet" à l’affût) il faut un arc doux et souple , avec des flèches légères et souples, l’animal étant à courte distance et le chasseur ayant souvent besoin de maintenir l’arc bandé ; mais pour « traire à vue ou traire à cul levé », il faut un arc puissant et des flèches plus raides.
Pour l’entraînement qui deviendra un loisir à partir du XVème siècle, l’archer utilisera des flèches les plus semblables possible pour assurer une régularité de tir.

LA FLECHA MEDIEVALES
La flecha medievales como el de hoy es la continuación del arco, que depende del arco que impulsar y utilizar el arquero quiere dar. Los tres grandes familias de las flechas son la guerra, la caza y la formación o el ocio.
Para la guerra, la industria manufacturera en la flecha debe ser rápido, para "uso único" pesado
para aumentar su inercia y su potencia, por lo general diseñadas para grandes bandadas durante un corto período de tiempo mediante el ajuste no es un enemigo concreto, pero una distancia especificada: una estrategia que nos costó toda nuestra caballería francesa durante la Guerra de
los Cien Años fue traer más de 8 000 arqueros disparar contra nuestras tropas 12 a 15 flechas por minuto, cuando nuestros peatones o ciclistas llegó a unos 200 metros de su líneas, que se sitúa entre 90 000 y 120 000 flechas por minuto! Es fácil imaginar la cantidad necesaria para un campo del ejército ... un cronista de la batalla de Agincourt describió la "cortina de flechas que están cerrados al cielo" ... si hay aproximadamente 100 g por flecha, que era el mínimo de las flechas de la guerra, por
lo que dio cerca de 10 toneladas por minuto aplastar a usted! ! ! no hay tempestad que no puede
soportar esa lluvia. Cada arquero es suministrada por "Jet", es decir, 24 flechas de la planta o la capa del suelo en frente de él. En 1480, en Londres, 12 aviones, a continuación, 288 flechas costo 38 chelines y 8 peniques.
La flecha de caza requiere de una precisa, su producción será mucho más cuidadosa en aras de la eficiencia. Al igual que hoy en día puede variar dependiendo de juego y estilo de caza, el libro aconseja leche Roy Modus a vigilante "leche (" medios para perseguir el arco ", Aguet" en el puesto de observación) deben arco suave y flexible, con las flechas suave y ligero, el animal se encuentra a poca distancia y el cazador, que a menudo necesidad de mantener el arco tenso, sino "la leche o con el
fin de asno para arriba, toma un arco poderosos y más rígida flechas.
Para la formación para convertirse en un pasatiempo del siglo XV, el arquero se usan flechas más
similar posible para garantizar la regularidad de los disparos.

L’ENCOCHE
Suivant le besoin, l’encoche sera simplement taillée dans le bois, avec un renfort cuir en appui pour la corde, cette fabrication plus rapide est utilisée pour la flèche de guerre ; les flèches plus sophistiquées utilisent un insert en corne pour renforcer l’encoche et bien résister à la poussée de la corde. Roger Ascham dans Toxophilus donne quelques précisions :
une encoche grande et profonde convient bien pour la guerre car elle est meilleure au toucher pour encocher très vite pendant chaque volée, une petite encoche peu profonde est meilleure sur le champ de tir car elle procure un meilleur lâcher, seule l’encoche large ne vaut rien car elle ne tient pas sur la corde.
Il arrive aussi que l’encoche soit fixée à la corde, et que la flèche s’emboîte simplement, ceci pour un intérêt stratégique, une flèche sans encoche ne peut être renvoyée par l’ennemi ; on a retrouvé des flèches comportant un petit insert métallique au fond d’une fausse encoche pour que l’ennemi qui encoche cette flèche sectionne la corde de son arc au lâcher.

LA MUESCA
Según las necesidades, la escotadura sólo se corta en la madera con un cuero reforzado el apoyo a la cuerda, el más rápido de producción se utiliza para la flecha de las flechas de guerra más sofisticados use un inserto de cuerno para el fortalecimiento de la escotadura así resistir la presión de la cuerda. Roger Ascham en Toxophilus da algunos detalles: un gran surco profundo y adecuado para la guerra porque es mejor llegar por golpear rápidamente durante cada ronda, una escotadura poco profunda es más pequeño de la gama, ya que proporciona una mejor liberación Sólo la ranura ancha no tiene ningún valor porque no cabe en la cuerda. A veces, el ritmo se adjunta a la cuerda y la flecha que sólo cabe, de este interés estratégico, una flecha, sin muesca puede ser devuelto por el enemigo se encontraron flechas con un inserto de pequeñas de metal en el fondo de una muesca falsas para que el enemigo que consiguió en la flecha que corta el cordón de su arco a caer.

LE FUT
Le fût idéal doit avoir une bonne rigidité pour encaisser la puissance de l’arc (sachant que celle ci se situe au moyen âge entre 80 et 180 livres !), et souplesse pour résoudre le paradoxe de l’archer en sortie d’arc et pour éviter de casser à l’arrivée en cible. Roger Ascham classe les bois par catégorie de
poids : le bois de brésil, de Turquie, le fustet, le châtaigner, font des flèches lourdes et massives ; l’aulne, le hêtre, le cormier, le sureau, le tremble, le saule font des flèches vives et légères, mais le charme, le frêne, certains chênes, sont les meilleurs bois pour allier résistance, légèreté et souplesse. Pour lui, le meilleur reste le frêne en particulier pour la guerre. Il arrive que la flèche soit faite de deux bois, à l’arrière un bois lourd pour compenser le poids de la pointe et l’avant en bois plus léger, l’assemblage étant fait en « queue de billard ». La forme du fût est souvent en « fuseau », épaissie sur l’avant et affinée derrière.

EL FUT
El barril debe tener un perfecto derecho a redimir la rigidez de la potencia del arco (sabiendo que es en la edad media de entre 80 y 180 libras!), Y flexibilidad para resolver la paradoja del arquero, el arco y la salida para evitar romper la meta de llegada. Roger Ascham clasifica la madera por categorías de peso: los bosques de Brasil, Turquía, la fustic, castaño, las flechas son pesados, sólidos, aliso haya,
fresno, saúco, álamos, sauces son flechas brillantes y la luz, pero el encanto, la ceniza, algunos robles, son la mejor madera para combinar resistencia, ligereza y flexibilidad. Para él, lo mejor está por sobre todo de cenizas de la guerra. A veces la flecha está hecha de dos bosques, detrás de una madera pesada para compensar el peso de la punta y la parte delantera más ligero de madera, el
montaje se realizan en "referencia". La forma del tambor es a menudo "el tiempo", engrosado en el preliminar y refinado detrás.

LES POINTES
On peut classer ces pointes en différentes familles
PEAK
Podemos clasificar estos puntos en diferentes familias

Les poinçons
Appelés bodkins par les anglais, destinés exclusivement à la guerre, où leur fonction est de percer les côtes de mailles et les armures. Ces dernières résistant assez bien à la pénétration des pointes, étaient cependant transpercées à courte distance par des pointes lourdes à l'inertie importante. Ces différentes pointes n'étaient pas fixées sur le fût, mais simplement emmanchées en force. De la sorte, en retirant la flèche du corps, la pointe restait dans la blessure, augmentant la difficulté d'extraction et les risques de mortalité. Il en était de même pour celles se fichant dans des obstacles ou protections (boucliers, palissades, etc.), le projectile ainsi « désarmé » ne pouvait être retourné à l'envoyeur.

Taps
Llamados por el Pasa Cintas Inglés exclusivamente para la guerra, donde su función es la de romper las costillas de correo electrónico y la armadura. En los últimos bastante resistente a la penetración de los picos, sin embargo, fueron perforados por la distancia corta picos inercia pesado importante. Estos diferentes puntos no se fija en el eje, sino que simplemente la fuerza equipado. Por lo tanto, la eliminación de la flecha del cuerpo, la punta quedó en la herida, aumentando la dificultad de la extracción y el riesgo de mortalidad. Era el mismo para aquellos atrapados en las barreras o guardias (escudos, vallas, etc.), El proyectil y "desarmado" podría ser devuelto al remitente.

Les lames
Elles sont destinées autant à la chasse qu'à la guerre où elles sont utilisées contre la piétaille mal protégée. Leur tranchant parfaitement affûté permet (comme nos lames modernes) de provoquer des hémorragies importantes.

Blades
Están destinados tanto a la caza de la guerra, ya que se utilizan contra lacayos mal protegidos. Su extremo perfectamente nítida permite (al igual que los cuchillos de la moderna) causa una hemorragia significativa.

Les pointes barbelées
Elles ont été utilisées dans presque toutes les guerres du Moyen Age contre les piétons mal équipés, mais aussi pour la chasse au gros gibier. Grâce à leurs longs bords tranchants, elles occasionnaient de très larges blessures, leur masse permettant un pénétration profonde. Les barbes étant là pour rendre l'extraction de la flèche difficile et réservée à des spécialistes équipés d'instruments chirurgicaux très spécifiques comme nous l'indique Ambroise Paré dans un traité du XVI ème siècle (l'utilisation de l'arc est pourtant en pleine décadence, remplacé par les armes à feu) « Si le fer estoit barbelé, ainsi que souvent est la flèche angloise, et estoit à l'endroit d'un os, ou inséré dedans,... lors ne le convient pousser, mais plutôt-dilater la plaie en évitant les nerfs et les grands vaisseaux, ainsi que le fait un bon et expert chirurgien anatomique, aussi faut-il appliquer un dilatoire, cavé en sa partie intérieure, en sorte que l'on puisse prendre les deux ailes du fer, puis avec le bec de grüe, le tenir ferme, et tirer les trois ensemble».
Les douilles de ces pointes étaient percées pour leur permettre d'être clouées sur le fût afin d'éviter de les perdre, leur difficulté de réalisation les rendaient coûteuses.

Los consejos de púas
Se han utilizado en casi todas las guerras en la Edad Media contra los peatones mal equipados, sino también para la caza mayor. Con sus bordes largos, que causan heridas muy grandes, la masa a una penetración profunda. La barba está ahí para que la extracción de la flecha difícil y reservada a los especialistas equipados con instrumentos quirúrgicos muy específicos como hemos dicho, Ambroise Paré en un tratado del siglo XVI (el uso de la proa se encuentra aún en plena decadencia, sustituida por armas de fuego) "Si estoit de púas de hierro, y con frecuencia es la Angloise flecha y estoit en lugar de un hueso, o se inserta en el interior, ... entonces ¿no debería el impulso, sino más bien ampliar la herida, evitando los nervios y los vasos sanguíneos importantes, como lo hace un buen cirujano y experto en anatomía, por lo que tenemos que aplicar una bodega dilatorias en su interior,
por lo que la "Podemos tener las dos alas de hierro, luego con el pico de la grúa, firmes y tomar los
tres juntos".
Los titulares de estos picos fueron perforados para que puedan ser clavado en el barril para evitar la pérdida de su dificultad de aplicación les hizo caro.

Les pointes à usage trés spécifique
Los puntos a un uso muy específico

La pointe incendiaire
les quatre branches servant à maintenir l'étoupe imprégnée de poix ou autre combustible, le carrelet en bout permet à la flèche de se ficher dans les constructions à détruire par le feu. Les branches, en s'écrasant au moment de l'impact, permettent au produit incendiaire de se retrouver en contact avec le bois ou la matière à enflammer. Cette pointe peut aussi servir à la « guerre bactériologique », en propulsant pendant un siège des petits morceaux de viande contaminés que les chiens par exemple vont manger et transmettre à la population. C'est le type même de pointe délicate à réaliser du fait de la double fente dans le métal et de sa soudure en bout pour former la pointe (à gauche ci-dessous).
El pico inflamatoria
cuatro ramas que sirven para mantener los cables impregnados con brea u otros combustibles, la platija en la final permite la flecha clavada en los edificios destruidos por el fuego. Las ramas, estrellándose en el momento del impacto, que el producto al fuego de nuevo en contacto con la madera o material para inflamarse. Este truco también puede ser utilizado para la "guerra biológica" en un asiento para la propulsión de pequeños trozos de carne contaminada que los perros se comen tal y enviados a la población. Este es el tipo de arte delicado de lograr a causa de la doble rendija en el metal y la punta de soldadura para formar la punta (a la izquierda abajo).

La pointe coupe jarret
sa lame en forme de hache en fait une pointe à trancher sans pénétration, elle était destinée à blesser douloureusement les chevaux, semant ainsi le désordre dans les rangs de la cavalerie (au centre ci-dessous).
El mango de vanguardia
hoja con forma de hacha de un punto que se decidió, sin penetración, se tenía la intención de herir dolorosamente caballos, por lo que sembrar la confusión en las filas de la caballería (centro abajo).

La coupe amarre
apparemment courante au Moyen-âge, elle est censée avoir servie à couper les cordages des navires.
Hypothèse discutable du fait de la grosseur des cordes de chanvre utilisées sur un navire, et de la difficulté à maîtriser un vol à l'horizontale d'une telle lame, condition indispensable pour la coupe... Ou peut-être fut-elle utilisée pour créer des déchirures importantes dans les voilures ? On
aurait dû en retrouver sur l'épave du Mary Rose, navire destiné au combat naval, ce n'est pas le cas. Il est possible que cette pointe étrange ait eu la même utilisation que la coupe jarret (à droite ci-dessous).
Cortar la cuerda
aparentemente comunes en la Edad Media, se supone que han servido para reducir el fraude de los buques. Hipótesis cuestionable, ya que el tamaño de las cuerdas de cáñamo utilizados en los buques, y dificultad para controlar el vuelo de la hoja de esa horizontal, un requisito previo para el corte de ... O tal vez se utilizó para crear grandes lágrimas en las alas? Tendríamos que haber encontrado los restos del naufragio del barco Mary Rose para el combate naval, este no es el caso. Es posible que este extraño arte ha tenido el mismo uso como el corte de la pierna (derecha abajo).


Pointes non représentées :
A partir du XVème siècle, l'usage de la douille a tendance à laisser la place à un montage sur soie. Nous retrouvons ainsi la plupart des flèches précédemment décrites sur ce montage, à l'exception des poinçons.
Deux types de soies étaient employées : la soie large et plate de la largeur du fat, celle-ci se logeant dans une fente, ou fine et longue, en forme de clou venant se loger dans un trou pratiqué au bout de la flèche. Dans les deux cas, une ligature sérieusement réalisée avec du fil de lin ou de chanvre collé doit être réalisée pour éviter l'éclatement du bout au moment de l'impact
Spikes no se muestra:
Desde el siglo XV, el uso de la toma tiende a dar paso a una seda de montaje. Así encontramos la mayoría de las flechas se ha descrito anteriormente en esta Asamblea, con la excepción de los golpes. Dos tipos de cerdas eran utilizadas: Seda ancho ancho y plano de la grasa, que se aloja en una ranura, o delgado y largo, en forma de un clavo que se encuentra en un agujero en la punta de la flecha. En ambos casos, la ligadura en serio hace con hilo de lino o de cáñamo pegado debe hacerse para evitar que exploten en la punta de la repercusión

Muchas gracias, Pons, por estos artículos sobre las flechas. Estoy totalmente de acuerdo con lo que dicen ya que corresponde a lo que yo he leído y estudiado anteriormente.
La traducción automática al español resulta a veces extraña por lo que, si alguien quiere aclarar algo le ruego contacte conmigo.
Pons, amigo, no sé qué traductor empleas. Quizá puedas probar éste: http://www.reverso.net/text_translation.asp?lang=FR&action=new
Según mi experiencia, no es de los peores.

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Merci beaucoup, Pons, par ces articles sur les flèches. Je suis totalement conformément à ce qu'ils disent. Cela on corresponde à ce que j'ai antérieurement lu et étudié.

La traduction automatique à l'Espagnol semble parfois étrangère par ce que, si quelqu'un veut éclaircir quelque chose je le prie de contacter avec moi.

Pons, ami, je ne sais pas quel traducteur tu emploies. Peut-être pouvoir essayer celui-ci: http://www.reverso.net/text_translation.asp?lang=FR&action=new
Selon mon expérience, il n'est pas des pires.

Merci Fadrique!

Plaisir